1. Le sermon sur la montagne 1) Les béatitudes (Matt 5:3-12) 2) Le sel et la lumière (Matt 5:13-16) 3) La loi (Matt 5:17-20) 4) La colère (Matt 5:21-26) 5) L’adultère (Matt 5:27-30) 6) Le divorce (Matt 5:31-32) 7) Les serments (Matt 5:33-37) 8) Œil pour œil (Matt 5:38-42) 9) Aime tes ennemis (Matt 5:43-48) 10) Instruction à propos du don (Matt 6:1-4) 11) La prière (Matt 6:5-8) 1. Les paraboles du Seigneur Jésus 1) La parabole du semeur (Matt 13:1-9) 2) La parabole de l’ivraie (Matt 13:24-30) 3) La parabole du grain de sénevé (Matt 13:31-32) 4) La parabole du levain (Matt 13:33) 5) La parabole de l’ivraie expliquée (Matt 13:36-43) 6) La parabole du trésor (Matt 13:44) 7) La parabole de la perle (Matt 13:45-46) 8) La parabole du filet (Matt 13:47-50) 1. Les commandements (Matt 22:37-39) « Jésus lui répondit: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C’est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »
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1. Pardonne soixante-dix fois sept fois (Matt 18:21-22) « Alors Pierre s’approcha de lui, et dit: Seigneur, combien de fois pardonnerai-je à mon frère, lorsqu’il péchera contre moi ? Sera-ce jusqu’à sept fois ? Jésus lui dit: Je ne te dis pas jusqu’à sept fois, mais jusqu’à septante fois sept fois. » 1. L’amour du Seigneur (Matt 22:37-39) « Jésus lui répondit: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C’est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » (Matt 18:12-14) « Que vous en semble ? Si un homme a cent brebis, et que l’une d’elles s’égare, ne laisse-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres sur les montagnes, pour aller chercher celle qui s’est égarée ? Et, s’il la trouve, je vous le dis en vérité, elle lui cause plus de joie que les quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont pas égarées. De même, ce n’est pas la volonté de votre Père qui est dans les cieux qu’il se perde un seul de ces petits. »
Histoire. Une graine, la terre, un arbre, la lumière du soleil, les oiseaux chanteurs et l’homme6/28/2019 Une petite graine tomba à terre. Après une forte pluie, une pousse tendre sortit de la graine et ses racines commencèrent à s’enfoncer peu à peu dans le sol. La petite plante grandit avec le temps, bravant les vents cruels et les fortes pluies, traversant les changements de saisons sous les croissants de la lune. En été, la terre apporta le don de l’eau afin que la plante puisse supporter la chaleur torride, et, à cause de la terre, la plante ne sentit pas la chaleur et survécut à la chaleur de l’été. Quand vint l’hiver, la terre enveloppa la plante de son étreinte chaleureuse et elles s’agrippèrent fortement l’une à l’autre. À cause de la chaleur de la terre, la plante survécut au froid glacial, traversant les tempêtes hivernales et les chutes de neige de la saison sans dommage. Abritée par la terre, la plante devint brave et était heureuse. Elle grandit haute et fière, nourrie par le soutien désintéressé de la terre. La plante grandit joyeusement. Elle chantait sous la pluie, dansait et valsait au rythme du vent. Et ainsi, la plante et la terre dépendent l’une de l’autre…
Les années passèrent et la plante devint un arbre immense. Il avait des branches robustes au bout desquelles pendaient d’innombrables feuilles et il était fortement enraciné dans la terre. Ses racines creusaient la terre comme au début, mais elles plongeaient maintenant profondément sous la surface du sol. La terre qui avait protégé la plante était maintenant la fondation de l’arbre puissant. Un rayon de soleil brilla sur l’arbre et le tronc frémit. L’arbre étira ses branches amplement et tira profondément de la lumière. La terre au-dessous respirait au même rythme que l’arbre, et la terre se sentait renouvelée. Une brise fraiche souffla à travers ses branches et l’arbre trémoussa de plaisir, débordant d’énergie. Et ainsi, l’arbre et la lumière du soleil dépendent l’un de l’autre… Des gens s’assoyaient à l’ombre fraiche de l’arbre et ils baignaient dans l’air frisquet et parfumé. L’air purifiait leurs cœurs et leurs poumons et nettoyait leur sang. Les gens ne se sentaient plus las ou accablés. Et ainsi, l’homme et l’arbre dépendent l’un de l’autre… Un vol d’oiseaux chanteurs gazouillaient en se posant sur les branches de l’arbre. Ils fuyaient peut-être un ennemi ou ils se reproduisaient et élevaient leurs petits, ou peut-être prenaient-ils tout simplement un bref repos. Et ainsi, l’arbre et les oiseaux sont interdépendants… Les racines de l’arbre, tordues et entrecroisées, s’enfonçaient profondément dans la terre. Son tronc protégeait la terre du vent et de la pluie, il étendait ses larges branches et veillait sur la terre au-dessous et l’arbre faisait cela parce que la terre est sa mère. Ils vivent ensemble, ils dépendent l’un de l’autre et ne vivront jamais l’un sans l’autre… Histoire. Une grande montagne, un petit ruisseau, un vent violent et une vague géante
Un petit ruisseau serpentait d’un côté et de l’autre et il arriva finalement au pied d’une haute montagne. La montagne bloquait le chemin du petit ruisseau. Alors il demanda à la montagne dans sa petite voix faible : « S’il te plait laisse-moi passer. Tu te dresses sur mon chemin et tu bloques mon parcours. — Où vas-tu ? demanda la montagne. — Je cherche mon chez-moi, répondit le petit ruisseau. — Très bien, tu peux passer au-dessus de moi. » Mais le petit ruisseau était trop faible et trop jeune pour pouvoir passer au-dessus d’une si haute montagne, donc il n’avait pas d’autre choix que de continuer à couler au pied de la montagne… Un vent violent se leva, charriant du sable et de la poussière jusqu’à la montagne. Le vent cria à la montagne : « Laisse-moi passer ! — Où vas-tu ? demanda la montagne. — Je veux aller de l’autre côté de la montagne, hurla le vent. — Très bien, si tu peux passer à travers moi, puis tu pourras partir. » Le vent violent souffla dans ce sens et dans l’autre, mais peu importe la fureur de son souffle, il ne réussit pas à percer le milieu de la montagne. Le vent se lassa et s’arrêta pour se reposer. De ce côté-là de la montagne alors, un vent faible soufflait de temps à autre, ce qui plaisait aux gens qui vivaient là-bas. C’est ainsi que la montagne accueillait les gens… Au bord de la mer, l’embrun océanique flottait légèrement vers le récif. Soudain, une vague géante surgit et rugit en roulant vers la montagne. « Déplace-toi ! cria la vague géante. — Où vas-tu ? demanda la montagne. La grande vague ne s’arrêta pas et poursuivit son élan tout en répondant : — J’élargit mon territoire et je veux un peu m’étirer les bras. — Très bien, si tu peux passer au-dessus de mon sommet, je vais te céder le passage. » La grande vague se retira un peu, puis une nouvelle fois bondit vers la montagne. Mais peu importe ses efforts, elle ne réussit pas à surmonter la montagne. Elle n’eut pas d’autre choix que de retourner lentement à son point de départ… Pendant des siècles, le petit ruisseau coula doucement autour du pied de la montagne. En suivant le cours que la montagne avait tracé, le petit ruisseau retrouva son chez-soi ; il rejoignit la rivière et la suivit jusqu’à la mer. Sous la garde de la montagne, le petit ruisseau ne s’est jamais perdu. Le petit ruisseau et la haute montagne comptaient l’un sur l’autre, ils se retenaient l’un l’autre et dépendaient l’un de l’autre. En raison de ces limites que Dieu a tracées, une variété de terrains ont produit différents environnements de survie et ces environnements de survie conviennent aux sortes d’oiseaux et d’animaux variés. Ils ont aussi créé un espace de survie. Ainsi, les limites pour les environnements de survie de la variété des êtres vivants ont été établies. C’est exactement ce dont nous allons parler maintenant.
(Gen 9:11-13) J’établis mon alliance avec vous: aucune chair ne sera plus exterminée par les eaux du déluge, et il n’y aura plus de déluge pour détruire la terre. Et Dieu dit: C’est ici le signe de l’alliance que j’établis entre moi et vous, et tous les êtres vivants qui sont avec vous, pour les générations à toujours: j’ai placé mon arc dans la nue, et il servira de signe d’alliance entre moi et la terre.
[…] La plupart des gens savent ce qu’est un arc-en-ciel et ont entendu des histoires au sujet d’arcs-en-ciel. Quant à l’histoire de l’arc-en-ciel dans la Bible, certains y croient, certains font comme si c’était une légende, tandis que d’autres n’y croient pas du tout. Peu importe, tout ce qui est arrivé par rapport à l’arc-en-ciel a été fait par Dieu jadis et a eu lieu au cours du processus de la gestion de l’homme par Dieu. Ces choses ont été rapportées exactement dans la Bible. Ces rapports ne nous disent pas dans quelle humeur était Dieu à ce moment-là ou quelles étaient les intentions derrière ces paroles que Dieu a dites. En outre, personne ne peut comprendre ce que ressentait Dieu quand Il les prononça. Cependant, l’état d’esprit de Dieu en ce qui concerne toute cette chose est révélé entre les lignes du texte. C’est comme si Ses pensées du moment bondissaient de la page par chaque mot et chaque phrase de la parole de Dieu. (Gen 9:1-6) Dieu bénit Noé et ses fils, et leur dit: Soyez féconds, multipliez, et remplissez la terre. Vous serez un sujet de crainte et d’effroi pour tout animal de la terre, pour tout oiseau du ciel, pour tout ce qui se meut sur la terre, et pour tous les poissons de la mer: ils sont livrés entre vos mains. Tout ce qui se meut et qui a vie vous servira de nourriture: je vous donne tout cela comme l’herbe verte. Seulement, vous ne mangerez point de chair avec son âme, avec son sang. Sachez-le aussi, je redemanderai le sang de vos âmes, je le redemanderai à tout animal ; et je redemanderai l’âme de l’homme à l’homme, à l’homme qui est son frère. Si quelqu’un verse le sang de l’homme, par l’homme son sang sera versé ; car Dieu a fait l’homme à son image.
[…] Après que Noé a accepté les instructions de Dieu, a construit l’arche et a vécu les jours pendant lesquels Dieu a détruit le monde par un déluge, toute sa famille de huit personnes a survécu. En dehors de la famille de Noé, comptant huit personnes, l’humanité tout entière a été détruite et tous les êtres vivants sur la terre ont été détruits. À Noé, Dieu a donné des bénédictions et lui a dit des choses ainsi qu’à ses fils. Ces choses étaient ce que Dieu lui accordait et aussi la bénédiction de Dieu sur lui. C’est la bénédiction et la promesse que Dieu donne à quelqu’un qui peut L’écouter et accepter Ses instructions, et c’est aussi la façon dont Dieu récompense les gens. Autrement dit, indépendamment du fait que Noé était un homme parfait ou un homme juste aux yeux de Dieu, et peu importe combien il en savait au sujet de Dieu, en bref, Noé et ses trois fils ont tous écouté les paroles de Dieu, se sont coordonnés avec l’œuvre de Dieu et ont fait ce qu’ils étaient censés faire en conformité avec les instructions de Dieu. En conséquence, ils ont aidé Dieu à conserver des humains et toutes sortes d’êtres vivants après la destruction du monde par un déluge, apportant une grande contribution à la prochaine étape du plan de gestion de Dieu. En raison de tout ce qu’il avait fait, Dieu le bénit. Peut-être que pour les gens d’aujourd’hui, ce que Noé a fait n’était même pas digne d’être mentionné. Certains pensent peut-être : Noé n’a rien fait ; Dieu avait pris Sa décision de le protéger, alors il allait certainement être protégé. Sa survie ne relève pas de son mérite. C’est ce que Dieu voulait accomplir, parce que l’homme est passif. Mais ce n’est pas ce que Dieu pensait. Pour Dieu, peu importe que les gens soient grands ou insignifiants, tant qu’ils peuvent L’écouter, obéir à Ses instructions et à ce qu’Il confie et peuvent coopérer avec Son œuvre, Sa volonté et Son plan, de sorte que Sa volonté et Son plan peuvent être réalisés en douceur, alors cette conduite vaut qu’Il S’en souvienne et est digne de recevoir Sa bénédiction. Dieu valorise de telles gens et Il chérit leurs actions, leur amour et leur affection pour Lui. Telle est l’attitude de Dieu. Alors pourquoi Dieu a-t-Il béni Noé ? C’est ainsi que Dieu traite de telles actions et l’obéissance de l’homme. (Gen 6:9-14) Voici la postérité de Noé. Noé était un homme juste et intègre dans son temps ; Noé marchait avec Dieu. Noé engendra trois fils: Sem, Cham et Japhet. La terre était corrompue devant Dieu, la terre était pleine de violence. Dieu regarda la terre, et voici, elle était corrompue ; car toute chair avait corrompu sa voie sur la terre. Alors Dieu dit à Noé: La fin de toute chair est arrêtée par devers moi ; car ils ont rempli la terre de violence ; voici, je vais les détruire avec la terre. Fais-toi une arche de bois de gopher ; tu disposeras cette arche en cellules, et tu l’enduiras de poix en dedans et en dehors.
(Gen 6:18-22) Mais j’établis mon alliance avec toi ; tu entreras dans l’arche, toi et tes fils, ta femme et les femmes de tes fils avec toi. De tout ce qui vit, de toute chair, tu feras entrer dans l’arche deux de chaque espèce, pour les conserver en vie avec toi: il y aura un mâle et une femelle. Des oiseaux selon leur espèce, du bétail selon son espèce, et de tous les reptiles de la terre selon leur espèce, deux de chaque espèce viendront vers toi, pour que tu leur conserves la vie. Et toi, prends de tous les aliments que l’on mange, et fais-en une provision auprès de toi, afin qu’ils te servent de nourriture ainsi qu’à eux. C’est ce que fit Noé: il exécuta tout ce que Dieu lui avait ordonné. |
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Août 2020
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