Le Nouveau Testament rapporte : « Après qu’ils eurent mangé, Jésus dit à Simon Pierre : Simon, fils de Jonas, m’aimes-tu plus que ne m’aiment ceux-ci ? Il lui répondit : Oui, Seigneur, tu sais que je t’aime. Jésus lui dit : Pais mes agneaux. Il lui dit une seconde fois : Simon, fils de Jonas, m’aimes-tu ? Pais mes brebis. Il lui dit pour la troisième fois : Simon, fils de Jonas, M’aimes-tu ? » Pierre fut attristé de ce qu’Il lui avait dit pour la troisième fois : m’aimes-tu ? Et il lui répondit : Seigneur, tu sais toutes choses, tu sais que je t’aime. Jésus lui dit : « Pais mes brebis » (Jean 21 : 15-17).
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Quand j’étais jeune, ma mère et mon père se disputaient souvent, et ma mère souffrait fréquemment d’être battue et torturée par mon père. Elle avait tellement de rancœur dans son cœur qu’elle en était morte jeune. Donc je me suis promis : lorsque je serais grand et que je fonderais une famille, je serais bon envers ma femme et ma famille mènerait une vie heureuse et paisible. Je ne répéterais pas les échecs du mariage de mes parents.
En 1995, j’étais directeur du bureau d’étude d’installation dans un restaurant. Au début, je ne pensais qu’à gagner de l’argent, il ne manquait plus qu’avoir une femme sage et gentille pour mener une vie heureuse avec elle, et cela me suffirait. Mais au bout d’un moment, mon travail me conduisait souvent à rencontrer les autres responsables des services dans de grands restaurants, des salons de thé, des bars à karaoké, des hôtels et d’autres lieux de divertissement. A cette époque, ils disaient souvent des choses comme : « Ayez une femme et des maîtresses aussi ! » ou « Il vaut mieux avoir aimé et perdu, que de n’avoir jamais aimé du tout. » ou « On ne vit que 90 ans, donc profitez-en à fond pendant que vous êtes jeune » ou « C’est ainsi que sont les hommes. Qui ne veut pas manger et boire, et être heureux ? » ou « Notre nation fait la promotion d’une croissance économique rapide et encourage toutes sortes d’entreprises de divertissement, nous devrions donc y répondre avec enthousiasme. En tant que citoyen chinois, nous ne devrions pas décevoir le gouvernement en profitant de la vie nocturne ! » Leur influence a commencé à m’atteindre et, au fil du temps, j’ai commencé à les suivre dans leurs activités nocturnes et j’y prenais goût à tout ça, c’était agréable pour moi. Fin 2000, je me suis marié. Au tout début, bien que je n’éprouve pas un amour profond pour ma femme, nous nous entendions bien et nous nous comprenions bien mutuellement. Toutefois, malgré mon temps passé pour maintenir des relations sociales et personnelles compliquées, je trouvais quand même du temps à faire la fête comme avant. Je ne pensais qu’à manger, à boire et à m’amuser. Je rentrais très tard à la maison tous les soirs. C’était au bout de deux ans que ma femme avait compris pourquoi je rentrais si tard. Ce n’était pas à cause de mon travail, mais parce que je faisais la fête. C’était à partir de ce moment-là qu’elle devenait froide envers moi. Nous nous étions donc résolus de mener chacun notre vie. Nous ne nous parlions jamais et ne faisions jamais preuve d’affection ou de considération l’un envers l’autre, notre relation était devenue presque gênante, je m’inquiétai que ça nous conduirait au divorce. Je ne dormais presque plus. Pour sauver notre mariage et nous sortir de cette impasse, j’ai demandé de l’aide à mes amis. L’un d’eux m’a dit : « Tes frères d’arme sont comme tes membres, et les femmes, comme tes vêtements ; ne te soucie pas trop d’elles. Il te suffit de maîtriser ta femme, et tout ira bien. » Je pensais que mon ami avait raison et je l’écoutais. Alors je me suis dit que je devais donner une leçon à ma femme. Je devais établir mon autorité sur elle et faire en sorte qu’elle se soumette à moi. Comme ça, elle n’oserait plus jamais me regarder de travers. J’ai donc fait ce que mon ami m’a conseillé. A la maison, je ne levais pas le petit doigt pour aider ma femme, je lui demandais même de me servir sur un plateau d’argent. Elle me servait des plats qu’elle avait préparés, quand je finissais mes plats je criais tout fort en l’ordonnant de me resservir d’autres. Je jouais le maître aussi bien que je pouvais. Je lui demandais de me fournir des factures de ses dépenses pour vérifier et avoir un contrôle financier sur elle, je lui donnais son argent de poche selon mon désir. Après un certain temps, je me suis rendu compte que, non seulement je n’avais pas réussi à établir mon autorité, mais en plus notre relation allait de pire en pire. Lorsque j’ai vu que cette méthode ne fonctionnait pas, j’ai essayé la méthode des sentiments et de gentillesse. Quand j’ai voulu lui parler, je n’ai même pas aligné deux phrases qu’elle a trouvé une occasion de m’enfoncer pour régler de vieux comptes en m’a dit que je ne faisais rien d’autre que de sortir faire la fête et que je ne ramenais jamais l’argent à la maison, etc., et nous nous sommes remis à nous disputer et avons fini par nous séparer en mauvais termes. Je me sentais en proie à la douleur et à la tristesse à chaque fois que nous nous disputions. Si un mari et une femme ne partagent pas un langage commun, alors être ensemble au sein d’une famille, c’est comme vivre avec un ennemi. Vous essayez de dire quelques mots, et ça déclenche une dispute ! C’étaient des jours douloureux à vivre. Le divorce paraissait presque comme la meilleure alternative que de continuer comme ça et de prolonger l’agonie. Toutefois, je ne voulais pas laver le linge sale en public, et donc, par amour-propre et pour mes enfants – mais avant tout pour poursuivre le rêve d’une famille heureuse que j’avais toujours voulue – j’ai décidé de rester dans mon mauvais mariage. De toute manière, c’était moi qui avais toujours tort en premier, donc ça serait moi qui devrais changer mes comportements et mes propos, n’est-ce pas ? Une fois que mes amis se sont rendu compte dans quelle misère je me trouvais, ils m’ont recommandé des livres traitant des émotions et du mariage pour que je puisse mieux comprendre ma femme et établir une communication avec elle et mes enfants. J’ai commencé alors à prendre le temps d’aller avec ma femme et mes deux enfants à la librairie, au zoo ou au centre commercial, et j’ai commencé à donner à ma femme de l’argent pour acheter des choses pour sa famille. Je sortais de moins en moins avec mes amis… Je me suis dit que ça serait dans ce sens que je sauverais mon mariage brisé. Toutefois, ma femme restait malheureuse et froide envers moi, et je ne pouvais rien y faire. J’ai demandé à un bon ami de venir parler à ma femme et d’essayer de redresser les choses, mais mon ami ne savait pas comment faire et m’a dit simplement : « Ces choses prennent du temps. » Peu de temps après, j’ai lancé une société d’installation et j’embauchais mon beau-frère pour qu’il apprenne les ficelles du métier. Je me suis dit : Me voilà, un homme bénéficiant d’un statut et gagnant bien sa vie. Cela devrait suffire pour satisfaire la vanité de ma femme, et en plus je m’occupe de son jeune frère ; cela devrait suffire à réparer notre relation. Toutefois, nous nous disputions encore souvent, ce à quoi je ne m’attendais pas. Ma femme a même énuméré mes manquements devant mes employés, disant que je ne m’occupais pas bien de ma famille… Je ne supportais plus ces disputes, donc j’étais résolu de leur laisser de l’argent et partir pour un autre site de construction. Lorsque je me suis rendu devant ma femme pour lui dire que j’allais la quitter, elle m’a paru désorientée et je me suis senti très malheureux. Je ne trouvais pas de réponse à mes questions. On dit souvent qu’un mari et une femme oublient toujours leurs disputes de la veille. Mais alors pourquoi y avait-il une animosité si terrible entre nous ? Pourquoi nous disputions-nous ou nous faisions-nous une guerre froide et évitions de croiser nos regards ? Pourquoi rendions-nous les choses si douloureuses l’un pour l’autre et mettions-nous notre foyer dans un tel désarroi ? Nous vivions de cette façon pendant quatre à cinq ans ; n’y avait-il vraiment rien que nous puissions faire pour réparer notre relation ? Comme notre relation en tant que mari et femme se détériorait de jour en jour et que mes pressions au travail augmentaient, je ne pouvais plus ni manger ni dormir. J’étais exténué. De nouvelles rides venaient creuser de profonds sillons sur mon front, et moi qui avais été jadis un homme fort, je commençais à perdre mes kilos jusqu’à 65 kilos. Parfois les choses sont arrivées à un point d’ébullition et j’aurais souhaité que la mort vienne me sauver de cette vie de tourments… Mais alors j’ai pensé à mes deux enfants chéris et je ne pouvais supporter l’idée de jeter tout cela par-dessus bord. Et donc je m’efforçais à vivre une vie de souffrance sans voir la fin. Après avoir prié, j’ai lu quelques paroles de Dieu : « “Homme sans argent est un loup sans dent” est la philosophie de Satan et elle prévaut dans toutes les sociétés humaines. Vous pourriez dire que c’est une tendance parce qu’il a été communiqué à tous les hommes et qu’il est maintenant fixé dans leur cœur. Les hommes sont passés du refus de ce dicton à s’y habituer de telle sorte que lorsqu’ils ont rencontré la vie réelle, ils lui ont progressivement donné leur approbation implicite, ont reconnu son existence et, enfin, ils lui ont donné leur propre sceau d’approbation. Est-ce vrai ? (Oui.) Ce processus n’est-il pas celui de la corruption de l’homme par Satan ? » (« Dieu Lui-même, l’Unique V », La Parole apparaît dans la chair). « Mais avec le besoin de l’homme d’amasser sans cesse d’importantes sommes d’argent, les gens en sont arrivés, sans s’en rendre compte, à aimer l’argent, aimer le gain et aimer le plaisir. Alors les gens en sont-ils arrivés à considérer l’argent comme plus important ? Lorsque les gens considèrent l’argent comme plus important, sans le savoir, ils négligent leur réputation, leur renommée, leur prestige, et leur intégrité ; ils négligent toutes ces choses, n’est-ce pas ? Quand tu t’engages dans les affaires, tu vois quelqu’un d’autre qui utilise d’autres approches et utilise d’autres moyens pour escroquer les gens et devenir riche. Bien que l’argent gagné soit un gain mal acquis, ils deviennent de plus en plus riches. Toute leur famille s’engage dans les mêmes affaires que toi, mais ils jouissent de la vie plus que toi, et tu te sens mal, et tu dis : “Pourquoi ne puis-je faire ça ? Pourquoi ne puis-je gagner autant qu’eux ? Je dois penser à un moyen d’obtenir plus d’argent, de faire prospérer mon entreprise.” Tu réfléchis longuement. […] Chaque personne veut utiliser la tricherie et des méthodes violentes pour vivre parmi ses semblables ; elle ment, triche et devient violente afin d’assurer sa subsistance ; […] fait tout ce qu’elle veut en utilisant des moyens violents et tordus. Cette humanité n’est-elle pas terrifiante ? (Oui.) Après M’avoir entendu parler de ces choses tout à l’heure, ne pensez-vous pas qu’il est terrifiant de vivre dans ce genre de foule, dans ce monde et dans cet environnement que Satan a corrompu ? (Oui.) » (« Dieu Lui-même, l’Unique VI », La Parole apparaît dans la chair).
Les paroles de Dieu avaient révélé de manière incisive la source de notre dégénérescence, qui est que Satan contamine notre cœur avec des hérésies empoisonnées telles que : « L’argent est le plus important », « L’argent fait tourner le manège », « L’argent n’est pas tout, mais sans argent vous ne pouvez rien faire » et ainsi de suite. Nous vivons nos vies sur la base de ces poisons, pensant que l’argent est tout et que nous avons besoin de beaucoup d’argent pour être heureux. C’est pourquoi nous nous efforçons de l’obtenir, sans la moindre considération pour autre chose. En tant qu’esclaves de l’argent et du profit, nous vivons tous selon le concept de : « Toute méthode est bonne tant qu’elle rapporte de l’argent. » Dans tous les métiers et professions, il existe des règles secrètes sur lesquelles les initiés s’entendent tacitement de mentir et de se mentir les uns les autres. Au fond, les gens sont devenus égoïstes, froids et méchants. Tous se fichent de la bonne conscience ou de la moralité. J’ai réfléchi aux paroles de Dieu et je me suis souvenu de la façon dont je suis devenu dégénéré et maléfique après avoir été pris dans la grande course pour gagner de l’argent. Au début, j’étais heureux de travailler durement et honnêtement pour pouvoir gagner juste assez d’argent pour manger. Mais ensuite j’ai vu combien les autres gagnaient, comment leur vie était meilleure que la mienne, et même si je les admirais, j’étais tout de même jaloux. Donc, pour gagner beaucoup d’argent, j’ai appris toutes les philosophies de vie venant de Satan, toutes les règles du jeu de la survie, et j’ai commencé à rivaliser avec mes collègues et à comploter contre eux tout en me cachant derrière un sourire. Je me suis mis à ramper aux pieds de mes patrons et j’ai tout fait pour m’attirer leurs bonnes grâces. J’ai été mielleux avec mes clients et les ai cajolés… Il n’y avait personne que je ne trompais pas, aucune méthode n’était trop vile pour moi, et ma personnalité entière est devenue basée sur le mensonge et l’hypocrisie enjôleuse, mais tout en me considérant comme un gars intelligent et compétent. J’étais totalement sous l’influence des tendances mauvaises du monde matériel et j’étais aspiré de plus en plus profondément dans un tourbillon de péché. Je manquais complètement d’intégrité ou de respect de soi et ma vie n’avait aucune direction valable. C’est ainsi que Satan jouait avec moi, abusant cruellement de moi. En fait, je n’étais pas le seul à ne pas pouvoir m’extirper de cette marée diabolique de « l’argent avant tout ». Plusieurs de mes amis et collègues y étaient aussi coincés. Et puis, il y avait mon camarade de classe, celui qui gagnait 140 000, qui, selon tout observateur occasionnel, avait une vie de famille idéale et heureuse. En fait, il passait ses nuits dans les bars et les boites de nuit, buvant et courant les femmes et, quand sa femme l’a découvert, elle l’a quitté immédiatement. Et donc une autre famille heureuse était détruite. Je pensais souvent aux expériences des gens autour de moi et à quel point ma vie était devenue extravagante et dissipée, et je devenais de plus en plus convaincu que la société était un grand melting-pot de mal ! « L’argent avant tout », « l’argent fait tourner le manège », et toutes ces autres règles sataniques de survie sont la source de la corruption et de la dégénérescence de l’humanité. Ce sont des ruses et des astuces que Satan utilise pour abuser des gens et les engloutir ! Maintenant, je me sens extrêmement chanceux d’avoir été choisi par Dieu, d’avoir pu, en lisant les paroles de Dieu, voir clairement la réalité de la corruption de l’humanité par Satan. Chaque fois que j’interagissais avec les frères et sœurs, je pouvais voir qu’il n’y avait pas de tromperie ou d’exploitation mutuelles entre eux. Chaque fois que des difficultés surgissaient, ils en parlaient ouvertement et s’encourageaient et se soutenaient mutuellement. Ils étaient simples et honnêtes, et ils étaient toujours justes les uns avec les autres. Tout cela m’a fait sentir que croire en Dieu est vraiment une bonne chose ! Après cela, afin de mieux comprendre les paroles de Dieu, j’ai aussi commencé à mettre tout en œuvre pour accomplir des tâches pour l’église quand je ne travaillais pas. J’ai commencé à lire plus souvent les paroles de Dieu, et je me suis rendu compte de plus en plus que le chemin de vie que j’avais parcouru pendant toutes ces années était complètement insignifiant. J’avais laissé Satan me torturer et abuser de moi. J’ai lu ces paroles de Dieu et j’ai compris à quel point Ses paroles sont réalistes : « Est-ce que les diverses choses matérielles dont les gens jouissent dans leur chair peuvent les réconforter dans leur cœur ? Que peuvent apporter leur sentiment de supériorité dans la vie et l’abondance matérielle ? (Dépravation.) Ils rendent les gens dépravés et leur font perdre leur chemin. […] Dirais-tu que l’argent peut satisfaire les désirs avides des gens ? (Non.) Non, cela ne peut pas résoudre ces problèmes de l’homme. […] Lorsque tu permets que les paroles de Dieu soient gravées en toi, de sorte que tu as la vie de Dieu en toi et que tu prends les paroles de Dieu et la vérité comme ta vraie vie, y a-t-il de la valeur à ta vie ? (Oui.) Sans t’en rendre compte, deviens-tu noble ? Est-ce que tu en viens graduellement à vivre dignement ? » (« C’est seulement avec la vérité comme leur vie que les gens peuvent vivre une vie qui a de la valeur », Récits des entretiens du Christ). Peu importe combien d’argent les gens gagnent dans le monde matériel, peu importe à quel point leur vie devient luxueuse et confortable, rien de tout cela n’est un remède au vide spirituel qu’ils ressentent. Poursuivre les choses matérielles ne fera que rendre les gens plus dégénérés et plus corrompus. Tant de gens croient que le bonheur est de bien manger, de bien s’habiller et, en général, de profiter du meilleur de tout, mais une fois qu’ils gagnent beaucoup d’argent et obtiennent ce qu’ils veulent, ils commencent à dégénérer et à se corrompre. Ensuite, leur vie se dégrade très rapidement, et ils finissent par souffrir plus que lorsqu’ils étaient pauvres et parfois même veulent cesser de s’efforcer de bien vivre. Aujourd’hui, Dieu Tout-Puissant a apporté la vérité à notre monde afin que nous puissions, d’après Ses paroles, voir clairement la réalité et la source de la manière dont Satan corrompt l’humanité. En acceptant et en pratiquant les paroles de Dieu et en vivant par la vérité, nous pouvons être de véritables êtres humains qui ont le respect de soi et des valeurs dans leur vie. Dieu Tout-Puissant m’a sauvé des profondeurs de la souffrance et a donné une direction et un but à ma vie. Je détestais déjà mon ancienne façon de gagner ma vie en disant ou faisant des choses sans scrupules, et j’ai décidé de changer mon mode de vie et de devenir une personne ouverte, honnête et intègre. Je ne vivrais plus seulement pour l’argent ou les plaisirs de la chair, mais je vivrais plutôt pour satisfaire Dieu ! Mais même si j’avais décidé de changer de comportement, Satan n’a pas si facilement abandonné et me dérangeait encore souvent en ne me laissant pas assister aux réunions ou accomplir des tâches d’église en paix. Une fois, lors d’une réunion, mon directeur général adjoint ne cessait de m’appeler, essayant de me faire aller chez un client pour gagner une commande. J’ai refusé, mais peu de temps après, il a appelé à nouveau et a dit qu’il convoquait une réunion impromptue pour discuter de la façon d’obtenir plus de clients et d’améliorer le chiffre d’affaires de l’entreprise. Chaque fois que quelque chose de ce genre se produisait, je me sentais toujours confus sur ce qu’il fallait faire : je ne voulais pas rater l’occasion d’en apprendre davantage sur les paroles de Dieu, mais j’avais aussi peur de refuser les propositions du patron et de me faire virer. Alors, juste comme je me sentais coincé, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Dans chaque étape du travail que Dieu fait à l’intérieur des gens, à l’extérieur, tout apparaît comme des interactions entre les personnes, comme s’il était né des arrangements humains ou d’une interférence humaine. Mais, dans les coulisses, chaque étape de travail, tout ce qui arrive, est un pari que Satan a fait avec Dieu et requiert que les gens restent fermes dans leur témoignage en faveur de Dieu. […] Tout ce que tu fais requiert que tu paies un certain prix dans tes efforts. Sans difficulté réelle, tu ne peux pas satisfaire Dieu, ça ne commence même pas à satisfaire Dieu, et ils ne sont rien d’autre que des slogans vides ! Ces slogans vides peuvent-ils satisfaire Dieu ? Quand Dieu et Satan se battent dans le domaine spirituel, comment dois-tu satisfaire Dieu et comment dois-tu tenir ferme dans ton témoignage en Sa faveur ? […] Tout ce qui arrive aux gens est quand Dieu a besoin qu’ils tiennent ferme dans leur témoignage en Sa faveur. Rien de majeur ne t’est arrivé jusqu’à ce moment et tu ne portes pas un grand témoignage, mais chaque détail de ta vie quotidienne se rapporte au témoignage en faveur de Dieu » (« Seulement aimer Dieu est vraiment croire en Dieu », La Parole apparaît dans la chair). À partir des paroles de Dieu, j’ai compris Son intention. Je pouvais voir que décider de satisfaire Dieu et de mener une vie significative ne voulait pas dire que Satan allait me laisser en paix, comme le montre l’action de Satan qui a fait en sorte que mon directeur général adjoint m’appelle pour me traîner dans d’autres stratagèmes pour tromper les gens et gagner de l’argent. Satan ne me testait-il pas, n’était-ce pas une partie de ses ruses ? J’étais reconnaissant pour l’illumination de Dieu et déterminé à ne plus jamais tomber dans le piège de Satan, mais plutôt à toujours tenir bon pour Dieu. Dans cet esprit, j’ai pu participer à la réunion en paix et j’ai pu vivre une paix et une satisfaction nouvelles. Après cela, je n’ai plus jamais trompé mes clients en essayant de gagner des commandes, mais j’expliquais tout clairement et je les laissais décider eux-mêmes où ils voulaient investir. Ce qui m’a surpris, c’est que même si je ne passais pas beaucoup de temps à essayer d’augmenter ma performance, je pouvais encore atteindre mes objectifs de performance avant la fin de chaque mois. Tout le monde en était étonné, mais j’étais sûr que Dieu contrôlait tout et que, parce que je faisais ce que Dieu exigeait, je gagnais Sa protection et Ses bénédictions. Mon père est un simple enseignant d’école élémentaire, et pendant mon enfance je vivais avec lui dans le dortoir que l’école fournissait à son personnel. Nous vivions une vie simple et frugale, comme la plupart des gens le faisaient durant cette période pleine de difficultés. La chose dont je me souviens le plus, c’est quand je jouais avec les enfants des autres enseignants dans la cour de l’école après les cours. Un des enfants venait d’une famille beaucoup plus riche que la mienne (sa mère travaillait au Bureau des Finances). Chaque jour, nous jouions jusqu’à ce qu’il fasse presque nuit, puis il préparait un bol de nouilles instantanées, sortait un beignet frit et le mangeait comme un glouton. Nous, les autres enfants, restions juste à côté et nous le regardions avec avidité tandis que l’odeur appétissante se répandait et nous faisait saliver. Chaque fois que cela se produisait, mon estomac frustré grondait bruyamment, ce qui me mettait toujours dans l’embarras et m’empêchait de savoir quoi faire. En ce temps-là, j’acceptais mal le fait de venir d’une famille pauvre et que mon père n’avait pas de talent — il n’avait même pas les moyens d’acheter un paquet de nouilles instantanées… J’en voulais à mon père, mais je me suis aussi promis que j’allais gagner beaucoup d’argent et que j’allais avoir un mode de vie que d’autres envieraient. À partir de ce moment-là, je n’avais plus d’intérêt pour les études, et je pensais constamment à quitter l’école, à décrocher un emploi et à compter sur mon propre travail pour améliorer mon mode de vie. Cependant, mon père a insisté pour que j’aille au lycée, mais j’étais catégorique de ne pas vouloir étudier. Je voulais quitter l’école et travailler à la place, parce que j’étais sûr que c’était la seule façon de trouver le bonheur et la prospérité assez rapidement.
Il a fallu une semaine à mes parents pour parvenir à un accord. Ils m’ont envoyé dans un grand salon de coiffure pour travailler et apprendre le métier. À partir de ce moment-là, j’ai fait tout mon possible pour apprendre tout ce que je pouvais sur la coiffure. Afin de faire plaisir au patron et d’acquérir une expérience pratique des techniques de coiffure, j’ai effectué toutes les tâches salissantes et fatigantes — tout ce que les autres ne voulaient pas faire — dans le salon. Au bout de quelques années, j’ai eu des troubles de l’estomac qui me faisaient parfois vomir de l’acide gastrique ou de la bile, ce qui était très inconfortable. Mais l’idée de pouvoir apprendre, de pratiquer dans le salon et d’obtenir mon certificat de coiffeur afin de pouvoir commencer à gagner de l’argent le plus tôt possible me rendait plus que disposé à supporter la souffrance. Quatre ans plus tard, j’ai ouvert mon propre salon et je pensais que le temps était enfin venu pour moi de gagner mon premier trésor. Mais la fortune ne me souriait pas : les affaires n’étaient jamais si bonnes et je ne pouvais pas apporter de changements substantiels à mon mode de vie. Voyant que j’étais encore loin des richesses dont j’avais rêvé, j’ai décidé de chercher un autre moyen de gagner de l’argent. Quelques mois plus tard, je suis allé travailler dans une usine à Suzhou. Les étés dans le sud de la Chine sont vraiment chauds et, après avoir terminé mon quart de nuit, j’étais toujours totalement épuisé. Mais chaque fois que le chef de service me demandait qui était prêt à faire des heures supplémentaires, j’étais toujours le premier à lever la main. Mon désir de travailler dur et de gagner de l’argent était plus fort que jamais. J’ai travaillé comme cela pendant deux ans, mais mon solde bancaire n’était jamais très élevé et je n’allais pas simplement passer le reste de ma vie comme monsieur tout le monde. Donc, pour réaliser mon rêve de grimper l’échelle sociale, je suis entré en contact avec certains de mes anciens camarades de classe pour voir ce qu’ils faisaient et qui d’entre eux gagnait beaucoup d’argent. Après de nombreuses enquêtes, j’ai découvert qu’il y avait un gars, qui m’avait dépassé de quelques années à l’école, qui gagnait beaucoup, plus d’un million par an, travaillant comme directeur général adjoint dans une société de financement. Alors je l’ai appelé et, avec son aide, j’ai été embauché par la société de financement avec un salaire mensuel de base de 1 200 yuans. Il m’a dit qu’il avait commencé avec 800 yuans par mois et que maintenant il gagnait 140 000 yuans par mois ! Quand j’ai entendu « 140 000 », j’ai pensé : « Je suis entré dans une mine d’or ! Je vais travailler très fort et profiter au maximum de cette opportunité. » Les autres membres du personnel se plaignaient toujours de leur petit salaire et de l’ennui de devoir distribuer des dépliants tous les jours, mais je pensais seulement au style de vie de mon camarade que je voulais tellement. Tant que ce n’était pas illégal et que ça me faisait beaucoup d’argent, alors ça valait le coup, peu importe à quel point c’était pénible ou épuisant. Après trois mois, je n’avais toujours pas d’ordre à mon nom, ma femme me disait de démissionner et mon camarade de classe m’avait dit qu’il ne pouvait garantir mon travail que pour un mois de plus. J’avais très envie d’évoluer dans l’industrie de la finance, j’ai donc doublé mes efforts et me suis fixé l’objectif de travailler trente jours par mois pendant quatorze heures par jour. Le vingt-septième jour de mon quatrième mois, j’ai finalement reçu un ordre d’une valeur de 100 000 yuans, pour laquelle j’ai reçu une prime de 1 500 yuans. J’étais ravi et il ne fallut pas longtemps avant que je devienne chef de mon département. Après cela, l’argent coulait de plus en plus, comme prévu. Mon mode de vie est devenu plus aisé et j’ai commencé à porter plus d’attention à bien m’habiller, à bien manger et à étaler mon argent quand je le pouvais. Mon salaire mensuel n’était souvent pas suffisant pour couvrir mes dépenses, alors je devais simplement faire des retraits sur mes cartes de crédit. J’étais devenu, à tous égards, un parvenu typique, de la foule des nouveaux riches. Je suis une fille ordinaire, et je serais contente si je peux vivre une vie heureuse et romantique après le mariage. Cependant, ma vie conjugale est très différente de ce que je pensais. Comme les autres, je dois faire face aux problèmes de ma vie. Heureusement, l’apparition de Dieu m’a aidée à résoudre les problèmes de mon mariage…
Mon mariage est comme décrit ci-dessous: Je me suis mariée dans une autre région. Sans aucun parent autour de moi, mon mari était la seule personne proche de moi. J’ai attendu longtemps pour être enceinte. Au début, il se souciait de moi en toute chose, et tous les jours, il rentrait du travail à l’heure, dînait et faisait du shopping avec moi, et faisait des promenades du soir avec moi. Je me sentais tellement chanceuse de l’épouser, j’espérais vraiment avoir des années de stabilité et que nous soyons heureux toute notre vie dans cette direction… Une nuit, Jingru rangeait sa chambre.
« Dring … » Le téléphone a sonné. Elle l’a ramassé et a entendu une voix un peu familière : « Allo ! C’est Wang Wei. Es-tu à la maison ? » Wang Wei ? Elle s’est sentie un peu étonnée : je ne l’ai pas vu depuis des années, mais pourquoi m’appelle-t-il ? « Um … oui … quoi de neuf ? », a-t-elle demandé, surprise. Ça fait longtemps. Je voudrais te prendre en voiture, pour une balade. Je suis en route vers ta maison et j’y serai bientôt. S’il te plaît, attends-moi à la porte », dit Wang Wei. Raccrochant le téléphone, son cœur se mit à trembler et ses pensées revinrent soudainement à l’époque où elle était à école. Non seulement elle était belle, mais ses notes étaient toujours bonnes, alors il y avait beaucoup d’étudiants masculins qui la poursuivaient à l’école et Wang Wei était l’un d’entre eux. Pour être avec elle, il utilisait toutes sortes de moyens pour se rapprocher d’elle, tel qu’écrire des lettres et lui envoyer des cadeaux, faisant tout son possible pour exprimer son amour pour elle. Cependant, elle était une fille sage et raisonnable. Elle ne voulait pas une relation qui pouvait la distraire et affecter ses études, mais elle voulait être à la hauteur des attentes de ses parents. Alors pour faire face à la ferme résolution de Wang Wei, elle a adopté une attitude de froideur envers lui à tout moment. Cependant, Wang Wei n’a pas abandonné à cause de sa manière froide. Au contraire, il la cherchait aussi fermement qu’avant. Plusieurs années passèrent, et sa persistance avait été récompensée par un peu d’émotion dans les profondeurs du cœur de Jingru, mais c’était simplement une émotion. Après, plusieurs filles sont apparues et ont passé beaucoup de temps avec Wang Wei. Elles sont restées à ses côtés tout au long de la journée, ce qui a réellement perturbé le cœur calme de Jingru. Elle s’était dit qu’elle pourrait utiliser cette situation à son avantage pour tester Wang Wei pendant un semestre. S’il n’avait pas de sentiment pour ces filles et l’aimait toujours, elle l’accepterait. « Honk ! » Le klaxon de la voiture a interrompu ses pensées. Wang Wei attendait dehors. Elle est montée dans sa voiture. Dans cette rencontre surprenante et longtemps oubliée, les deux sont restés silencieux. La voiture roulait sans but et l’atmosphère était quelque peu embarrassante. Après un long moment, Wang Wei a activement brisé le silence dans la voiture : « Um … comment … ça va ? » Pas mal. Je vais très bien, a-t-elle répondu négligemment. Où étais-tu toutes ces années ? J’ai tout essayé pour te trouver, mais j’ai échoué, comme si tu avais disparu du monde. Ce n’est que lorsque j’ai vu ton numéro dans le téléphone d’un ami, par accident, que j’ai pu t’appeler ; autrement, je ne sais pas vraiment si je t’aurais trouvé un jour, ajouta-t-il. Alors qu’il conduisait, Wang Wei tournait son visage vers elle de temps en temps. En avril 2015, je suis arrivée au Japon, un beau pays que je rêvais depuis longtemps. Voyant le bon environnement et la citoyenneté ici, j’étais impatient de trouver un emploi, afin que je puisse résider ici. Plus tard, une aînée m’a dit qu’il était difficile pour les étrangers de trouver un emploi au Japon, mais que s’ils obtenaient le certificat immobilier, cela deviendrait beaucoup plus facile. Donc, après avoir obtenu mon diplôme d’école de langues, j’ai choisie sans hésitation l’économie comme discipline principale. Pour les étudiants en économie, il faut une formation professionnelle systématique pour obtenir des certificats. Après une période de dur labeur, j’ai finalement passé l’examen pour le notaire immobilier. Afin de rendre mon CV impressionnant et améliorer mes chances d’emploi, outre le certificat immobilier, j’ai également obtenu de nombreux autres certificats. J’ai pensé : « Puisque j’ai tant de certificats, non seulement les sociétés immobilières, mais aussi d’autres entreprises voudraient me voir. » En pensant à cela, je me sentais heureuse dans mon cœur. J’étais autrefois athée et matérialiste. Je ne pouvais me fier qu’à mes yeux, et la science était ma seule référence. Je ne croyais en rien d’autre que l’argent, et je ne pouvais accepter l’idée qu’il y ait un Dieu dans ce monde. Ce n’est que lorsque j’ai fait l’expérience de la séparation définitive que j’ai compris que l’argent ne peut pas sauver notre vie et que l’on ne peut pas se contenter de « voir » pour « croire ».
Un jour, deux sœurs sont venues nous prêcher l’évangile, à ma femme et à moi. Ma femme l’a accepté alors que je refusais. Avant de partir, elles m’ont donné un livre et m’ont invité à le lire. Pour sauver la face, j’ai fait mine d’accepter sans en dire plus. Quelques jours plus tard, elles sont venues prêcher l’évangile à nouveau. Je suis devenu quelque peu impatient, avant même qu’elles ne commencent à parler je leur dis : « Si les gens veulent vivre une bonne vie, ils doivent s’efforcer de gagner plus d’argent par leur propre travail assidu, en fonction de leurs capacités personnelles. Puis-je avoir de l’argent si je crois en Dieu ? N’est-ce pas une illusion ? Pourquoi cette obstination ? Ne revenez plus jamais. » Constatant mon attitude de fermeture, elles ne pouvaient plus rien dire. Après cela, ma femme me disait souvent que Dieu existe et me demandait de croire en Dieu, mais je répondais invariablement : « Cela ne me dérange pas que tu croyais en Dieu. Mais ne me demande pas de croire à mon tour, c’est impossible pour moi. Je ne crois qu’en l’argent et la science. » Cependant, dans mon cœur, je m’interrogeais : pourquoi ces gens croient-ils fermement qu’il y a un Dieu dans le monde ? Frères et sœurs de l’Escale d’Amour :
Je suis chrétien. Depuis que je crois au Seigneur, j’ai pu jouir de Sa grâce et de Ses bénédictions, mais récemment je ne suis plus capable de ressentir Sa présence. Je ne me suis senti ni exalté en lisant la Bible ni transporté par la prière. Face aux difficultés, je n’ai pas été capable d’agir selon la parole du Seigneur. C’est comme si j’avais perdu ma foi et mon amour originels, je me sens déboussolé et anxieux. Que puis-je faire pour sortir de cette situation ? Sincèrement vôtre, Zhao Xun Frère Zhao Xun : Bonjour ! Je comprends ce que vous ressentez. J’ai eu le même problème par le passé. J’ai ensuite, au travers de quelques ouvrages sur la spiritualité, gagné en illumination et en exaltation, et j’ai compris certaines choses. Votre problème provient de la perte de l’œuvre du Saint-Esprit. Si vous voulez éprouver de nouveau l’œuvre du Saint-Esprit, vous devez établir une bonne relation avec Dieu. Il y a quatre moyens d’y parvenir. Premièrement, pratiquez à calmer notre cœur devant Dieu. Le Seigneur Jésus nous a dit : « Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent en esprit et en vérité. » (Jean 4 :24). Grâce à ce verset, nous savons que si nous voulons établir une relation normale avec Dieu, nous devons Le prier avec un cœur sincère, Lui parler avec le cœur. Lorsque nous parlons sincèrement à Dieu de notre contexte et de nos difficultés pratiques, et que nous faisons preuve d’introspection devant Lui, nous serons émus par le Saint-Esprit et nous éprouvons de véritables remords. De cette façon, nous pouvons nous apaiser devant Dieu. Par exemple, si vous priez « Dieu ! Je vois de nombreux frères et sœurs qui se dépensent sincèrement pour Toi. Mais je n’ai pas leur carrure. J’ai tant de fardeaux – mon travail, ma famille, le futur – que je ne peux pas me dépenser pour Toi. Je ne sais pas comment me défaire de ces fardeaux. Puisses-Tu m’éclairer et me permettre de comprendre Ta volonté et Tes exigences. Puisses-Tu me donner la foi et la force pour que j’obéisse à Tes souverainetés et arrangements. Lorsque vous priez de cette façon, vous vous apaisez devant Dieu. Quand Dieu vous voit prier sincèrement, le Saint-Esprit travaille en vous, et vous établiez alors une relation normale avec Dieu. Mais si plutôt que d’ouvrir nos cœurs à Dieu en s’agenouillant dans la prière, nous prononçons seulement quelques mots sommairement, sans y faire attention, bien que nous puissions paraître respectueux ce n’est pas être apaisé devant Dieu, et Il n’acceptera pas une telle prière. De même, si nous sommes irrationnels, si nos propres envies et désirs viennent interférer avec nos prières, ces prières ne sont pas faites avec un cœur apaisé devant Dieu, et Il ne les acceptera pas. Au-delà d’apaiser nos cœurs devant Dieu dans la prière, nous devons aussi nous apaiser devant Lui et toucher l’Esprit de Dieu avec nos cœurs lorsque nous lisons la Bible et que nous contemplons Sa parole. Quand nous vivons une vraie communion avec Dieu et que nous vivons devant Lui, nous sommes touchés par le Saint-Esprit et nous bénéficions de Son œuvre. Quoi que nous fassions, que nous priions, que nous travaillions ou que nous nous baladions, nous devons nous pratiquer à être apaisés devant Dieu à tout moment. Tant que nous nous y efforçons constamment, nous pouvons préserver une relation normale avec Dieu. Les gens disent souvent : « Les choses se transforment en leurs opposés lorsqu’elles atteignent l’extrême. » L’amour profond peut se transformer en haine. Plus vous aimez, plus vous détestez. Seuls ceux qui ont éprouvé la douleur peuvent vraiment ressentir un tel sentiment. Et Xiao Yun est celle qui a souffert d’une telle douleur extrême.
Quand Xiao Yun avait 9 ans, son père a ramené une jolie tante à la maison. Xiao Yun l’aimait bien parce qu’elle était belle. Mais plus tard, Xiao Yun a découvert que le doux sourire sur le visage de sa mère a disparu depuis l’arrivée de la tante. Plusieurs années plus tard, deux jeunes sœurs se sont jointes à sa famille. Ils appelaient son père « papa » et la tante « maman ». De plus, avec la croissance des jeunes sœurs, il est évident que son père l’aimait moins et la grondait parfois pour les jeunes sœurs. Xiao Yun ne comprenait pas pourquoi son père, qui l’aimait tant, la traitait ainsi pour les « étrangers ». Xiao Yun s’est senti extrêmement lésé. Elle a crié à sa mère, espérant que sa mère, qui l’aimait beaucoup, pourrait lui rendre justice. Cependant, sa mère lui a dit un fait qu’elle ne pouvait tout simplement pas accepter : son père a une liaison, et les deux sœurs sont les filles de son père et de sa tante ainsi que ses demi-sœurs. « Comment un tel événement montré à la télé se produit-il vraiment dans ma vie ? » se demanda Xiao Yun. Peu à peu, Xiao Yun a constaté que son statut dans le cœur de son père est devenu de plus en plus bas à cause des deux sœurs. Son père a commencé à passer la plus grande partie de son temps à accompagner la tante et leurs filles et il revenait rarement à la maison. Même s’il revenait de temps en temps à la maison, lui et sa mère venaient aux coups, et parfois ils s’affrontaient même avec un couteau ou un tabouret dans leurs mains. Xiao Yun craignait souvent que le couteau ne tombe. La querelle entre ses parents l’a souvent réveillée, elle et son frère, à minuit. Ses parents s’aimaient auparavant, mais à cause de la tante, ils se disputaient souvent, et sa famille heureuse était brisée…. |
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Mai 2020
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