J’étais autrefois athée et matérialiste. Je ne pouvais me fier qu’à mes yeux, et la science était ma seule référence. Je ne croyais en rien d’autre que l’argent, et je ne pouvais accepter l’idée qu’il y ait un Dieu dans ce monde. Ce n’est que lorsque j’ai fait l’expérience de la séparation définitive que j’ai compris que l’argent ne peut pas sauver notre vie et que l’on ne peut pas se contenter de « voir » pour « croire ». Un jour, deux sœurs sont venues nous prêcher l’évangile, à ma femme et à moi. Ma femme l’a accepté alors que je refusais. Avant de partir, elles m’ont donné un livre et m’ont invité à le lire. Pour sauver la face, j’ai fait mine d’accepter sans en dire plus. Quelques jours plus tard, elles sont venues prêcher l’évangile à nouveau. Je suis devenu quelque peu impatient, avant même qu’elles ne commencent à parler je leur dis : « Si les gens veulent vivre une bonne vie, ils doivent s’efforcer de gagner plus d’argent par leur propre travail assidu, en fonction de leurs capacités personnelles. Puis-je avoir de l’argent si je crois en Dieu ? N’est-ce pas une illusion ? Pourquoi cette obstination ? Ne revenez plus jamais. » Constatant mon attitude de fermeture, elles ne pouvaient plus rien dire. Après cela, ma femme me disait souvent que Dieu existe et me demandait de croire en Dieu, mais je répondais invariablement : « Cela ne me dérange pas que tu croyais en Dieu. Mais ne me demande pas de croire à mon tour, c’est impossible pour moi. Je ne crois qu’en l’argent et la science. » Cependant, dans mon cœur, je m’interrogeais : pourquoi ces gens croient-ils fermement qu’il y a un Dieu dans le monde ? Un jour, ma femme n’était pas à la maison. Je m’ennuyais beaucoup, alors je me suis souvenu du livre laissé par les deux sœurs. Je me suis dit : Bien que j’aie accepté ce livre, je ne l’ai pas encore lu. Je ne sais pas de quoi il parle. Comme je n’ai rien à faire et que je m’ennuie, autant le lire. J’ai vu qu’il est écrit : « Avec Moi, tout sera fait de façon appropriée et correcte, sans coûter le moindre effort. Je parle et c’est établi ; Je parle et c’est fait. […] » « Dieu Tout-Puissant, le Chef de toutes choses, exerce Son pouvoir royal sur Son trône. Il règne sur l’univers et sur toutes choses et Il nous guide sur la terre entière. Nous serons souvent près de Lui et nous nous présenterons devant Lui dans la tranquillité ; nous ne manquerons pas un seul moment et il y a des choses à apprendre en tout temps. L’environnement autour de nous, ainsi que les personnes, les choses et les objets ont tous la permission d’être grâce à Son trône. N’aie pas un cœur plaintif ou Dieu ne t’accordera pas Sa grâce. Quand survient la maladie, c’est dû à l’amour de Dieu et Ses bonnes intentions sont certainement derrière cela. Même quand ton corps endure la souffrance, n’accepte aucune idée de Satan. Loue Dieu au milieu de la maladie et réjouis-toi en Dieu au milieu de ta louange. Ne te décourage pas face à la maladie, continue à chercher, ne perds jamais espoir et Dieu fera briller Sa lumière pour toi. Jusqu’à quel point Job a-t-il été fidèle ? Dieu Tout-Puissant est un médecin tout-puissant ! Rester dans la maladie, c’est être malade, mais rester dans l’esprit, c’est être bien. Si tu n’as qu’un seul souffle, Dieu ne te laissera pas mourir. » Après avoir lu ces mots, je me suis dit : « Si ces paroles sont vraies, alors notre pays n’a plus besoin d’hôpitaux et il n’y aura bientôt plus de souffrance sur Terre ! C’est trop beau pour être vrai. » Je restais accroché à mes certitudes : je ne croyais pas en l’existence de Dieu. En un clin d’œil, deux ans s’étaient écoulés. Un jour, ma femme s’est mise à tousser et à cracher du sang, disant qu’elle se sentait très mal.Voyant ma femme ainsi, j’étais très inquiet et anxieux parce que je pensais que cracher du sang était un mauvais signe. J’ai tout de suite contacté l’un de mes parents qui travaillait au Parti Communiste Provincial et je lui ai demandé de nous aider à organiser un rendez-vous à l’hôpital pour voir un médecin. À l’hôpital, mon épouse a reçu un diagnostic de cancer du poumon à un stade avancé. Quand j’ai entendu cette mauvaise nouvelle, tout mon corps s’est senti mou et faible et j’ai eu l’impression que le ciel était sur le point de me tomber sur la tête, pensant : ma femme est toujours en bonne santé, comment pourrait-elle souffrir d’un cancer du poumon tout d’un coup et qui plus est en phase terminale ? Je ne pouvais vraiment pas accepter ce fait. Mon parent n’osait pas non plus croire à un tel résultat, alors il a invité d’autres spécialistes célèbres à venir à l’hôpital pour tenir une consultation ensemble. Finalement, ces spécialistes ont tous diagnostiqué un cancer du poumon au stade avancé et ont dit que la seule solution était de pratiquer une opération chirurgicale, mais que les chances de réussite étaient très faibles. En entendant cela, je me suis senti désespéré, notre vie humaine est si fragile… J’avais toujours pensé que tant que j’avais de l’argent, je pouvais tout obtenir. Mais je n’avais jamais pensé que lorsque je serais confronté au cancer dont souffrait ma femme, toutes les économies que j’avais obtenues de mon vivant ne pourraient résoudre le problème. Quand bien même j’aurais plus d’argent, cela ne pouvait pas sauver la vie de ma femme, et même si la médecine était performante, cela n’y changeait rien. Je vivais dans l’impuissance et la douleur. Je ne savais pas quoi faire. Apprenant que la chirurgie avait un taux de succès assez faible, ma femme refusa de subir l’opération. De plus, mon parent ne voulait pas prendre de risque et je ne voulais pas non plus que ma femme se sépare de moi. Alors, on l’a écoutée : nous avons décidé de rentrer chez nous après un nouvel examen le lendemain. La nuit a continué. Je me sentais seul et désolé, mon esprit était complètement vide. Cette nuit-là a été la nuit la plus difficile de toute ma vie. Je suis sorti et j’ai pris place sous un arbre dans un petit parc. En regardant le ciel étoilé, j’ai perdu le contrôle et j’ai commencé à pleurer. Je pensais en mon for intérieur : toutes ces années, à cause de mes problèmes de dos, ma femme a tout fait, à la fois à l’intérieur et à l’extérieur de la maison ; je ne l’ai pas laissée jouir du bonheur, même pas un jour ; maintenant, non seulement elle souffre d’un cancer mais le cancer est déjà à un stade avancé ; comment pourrais-je vivre les jours qui restent ? Je ne pouvais vraiment pas accepter ce fait cruel. J’étais en deuil et je ne savais pas combien de temps j’avais pleuré. Soudain, je me suis souvenu des mots que j’avais lus dans ce livre à l’époque, « Avec Moi, tout sera fait de façon appropriée et correcte, sans coûter le moindre effort. Je parle et c’est établi ; Je parle et c’est fait. […] » « Dieu Tout-Puissant est un médecin tout-puissant ! Rester dans la maladie, c’est être malade, mais rester dans l’esprit, c’est être bien. Si tu n’as qu’un seul souffle, Dieu ne te laissera pas mourir. » En pensant à ces mots, mon cœur n’a fait qu’un bond, comme si je saisissais l’opportunité d’une vie. En regardant la voûte céleste, je ne pouvais m’empêcher de m’agenouiller et de prier Dieu : « Oh mon Dieu ! Je suis si aveugle que je ne croyais pas en Toi. Bien que j’aie lu Tes paroles, je n’y croyais pas. Aujourd’hui, ma femme est tombée malade de façon inattendue. Après examen, le médecin a dit qu’elle souffrait d’un cancer du poumon à un stade avancé. Maintenant, je sais que les médecins ne peuvent pas la guérir et que sa vie ne s’achète pas avec de l’argent. Oh mon Dieu ! Vous seul pouvez la sauver. Je Vous supplie de la sauver… » Après avoir prié, mon cœur était un peu plus calme. J’ai essuyé mes yeux et je suis retourné dans la chambre. J’ai vu ma femme assise près du lit, comme si rien ne s’était passé. Voyant mon visage triste, elle m’a dit : « As-tu oublié que je crois en Dieu ? Ma vie est entre les mains de Dieu. Les médecins n’ont pas le dernier mot. J’obéirai à la volonté de Dieu. Ne sois pas trop triste. » J’ai hoché la tête. Le lendemain matin, après le bilan sanguin de ma femme, nous attendions tous les résultats du laboratoire. Dans l’après-midi, les médecins nous ont dit avec étonnement que le résultat du bilan était différent du précédent. Comme ils étaient perplexes, ils ont revérifié les résultats et ont décidé de refaire une bronchoscopie. Les trois comptes-rendus de laboratoire ont tous montré qu’aucune cellule cancéreuse n’avait été trouvée dans ses poumons. Les médecins étaient stupéfaits.L’un d’entre eux dit : « De toute ma vie de médecin, jamais je n’ai vu un tel miracle… » Quant à moi, j’étais dans un état de grande excitation. Dans mon cœur, j’avais alors une certitude : c’est l’œuvre de Dieu ! Tout ce que je pouvais faire était de continuer à remercier et à louer Dieu dans mon cœur : « Oh mon Dieu ! Tu es le vrai Dieu. Tu es tout-puissant. C’est Toi qui as guéri ma femme. » Ma femme fut mise sous perfusion pour maîtriser l’inflammation pendant trois jours, puis elle quitta l’hôpital. La deuxième nuit après notre retour à la maison, 6 sœurs sont venues chez moi pour rendre visite à ma femme. Je les ai reçues chaleureusement et leur ai raconté ce qui s’était passé à l’hôpital. Après avoir entendu mon récit, elles ont loué et remercié Dieu à l’unisson. J’ai dit avec honte : « Je suis très heureux que vous soyez toutes venues ce soir. Dans le passé, j’étais aveugle et obsédé par l’argent, j’ignorais votre gentillesse. Vous êtes venues chez moi pour me prêcher l’évangile plusieurs fois, mais j’ai toujours refusé d’écouter. Mon cœur était trop dur et comme empoisonné par l’athéisme et le matérialisme. Aujourd’hui, je ne crois plus à ces théories. Je suis prêt à croire en Dieu et à L’adorer avec vous tous. » Les sœurs hochèrent la tête joyeusement. Le troisième jour, l’Église s’est arrangée pour que j’assiste aux réunions. Lors de la réunion, j’ai pensé aux paroles d’un texte spirituel : « L’humanité ne sait pas qui est le souverain de toutes choses dans l’univers, et elle ne connaît encore moins le commencement et l’avenir de l’humanité. L’humanité vit seulement, nécessairement, au milieu de cette loi. Nul ne peut y échapper, et personne ne peut le changer, car il n’y a, entre toutes choses et dans les cieux, qu’Un seul, d’éternité en éternité, qui détient la souveraineté sur tout. Il est Celui qui n’a jamais été vu par l’homme, Celui que l’humanité n’a jamais connu, l’humanité n’a jamais cru en Son existence, pourtant Il est Celui qui a insufflé le souffle aux ancêtres de l’humanité et a donné la vie aux hommes. Il est Celui qui donne et nourrit l’humanité pournson existence et qui guide les hommes jusqu’à nos jours. De plus, c’est de Lui et de Lui seul que la survie de l’humanité dépend. [.…] Indépendamment du fait que tu sois capable de reconnaître l’action de Dieu, et indépendamment du fait que tu crois en l’existence de Dieu ou que tu n’y crois pas, il ne fait aucun doute que ton destin réside dans l’ordination de Dieu, et il ne fait aucun doute que Dieu aura toujours la souveraineté sur toutes choses. Son existence et Son autorité ne sont pas fondées sur le fait qu’elles peuvent être reconnues et comprises ou non par l’homme. Lui seul connaît le passé, le présent et l’avenir de l’homme, et Lui seul peut déterminer le sort de l’humanité. » En voyant les paroles de Dieu qui font autorité, j’avais vraiment honte. Je me suis rappelé que lorsque les sœurs sont venues me prêcher l’évangile, quoi qu’elles aient dit, je ne croyais pas qu’il y ait un Dieu. J’ai reçu une éducation athée dès mon enfance, donc je n’ai jamais cru en l’existence de Dieu, je pensais seulement que « voir c’est croire », avec la science comme unique base pour tout faire, pensant également que les gens devraient se contenter de rechercher la richesse matérielle. Cependant, face à la maladie de ma femme, bien qu’ayant les moyens de trouver les meilleurs médecins et l’équipement médical le plus avancé, toutes ces ressources semblent bien faibles face au cancer. Au temps de ma plus grande douleur et de mon impuissance, toutes ces choses futiles que je poursuivais et en lesquelles je croyais ne pouvaient pas m’aider à résoudre mes problèmes actuels ; au lieu de cela, c’était Dieu, en qui je ne croyais pas, qui m’a donné un nouvel espoir et m’a permis de voir clairement qu’il s’est avéré que tout est entre les mains de Dieu. Maintenant, j’ai compris : Dieu contrôle toute chose dans l’univers. Il nous accorde tout ce qui est nécessaire à notre survie et même l’air que nous respirons provient de Dieu. Peu importe combien d’argent nous avons, il ne peut pas acheter cet air que nous respirons ; peu importe à quel point la science est avancée ou à quel point les compétences médicales sont pointues, elles ne peuvent pas nous sauver la vie, parce que seul Dieu, la source de toutes choses, peut nous donner la vie. Peu importe si nous croyons qu’il y a un Dieu dans le monde ou non, l’existence de Dieu est incontestable. Auparavant j’ai toujours refusé d’accepter l’œuvre de Dieu ; les opinions et les vues que je gardais viennent de l’éducation athée et sont les plans diaboliques de Satan. Satan utilise la connaissance et l’argent pour posséder mon cœur et contrôler mon esprit, me forçant à le suivre, à nier l’existence du vrai Dieu et à rejeter le salut de Dieu. Satan est vraiment sinistre ! Je rends grâce à la miséricorde et à l’amour de Dieu. Cette nuit-là, alors que j’étais dans ma douleur et mon désespoir, c’est Dieu qui a guéri le cancer de ma femme. Cela m’a fait expérimenter personnellement la puissance de la parole de Dieu, cela m’a fait voir que l’autorité de Dieu est sans égal et que Dieu est tout-puissant ! Après avoir fait l’expérience de la guérison de la maladie de ma femme, j’ai tourné le dos à cette vie passée dans l’erreur et je suis devenu un vrai chrétien. Je suis reconnaissant pour l’amour de Dieu, et pour mon propre salut ! Peu de temps après, ma femme et moi avons rempli notre devoir de création. Je suis prêt à être fidèle pour accomplir mon devoir de rembourser le grand amour de Dieu. Que toute la gloire soit à Dieu ! Source: L'Évangile de Dieu
0 Commentaires
Laisser une réponse. |
AuteurÉcrivez quelque chose à votre sujet. Pas besoin d'être fantaisiste, juste un aperçu. Archives
Mai 2020
Catégories |